11 mars 2008
2
11
/03
/mars
/2008
00:41
-
Je ne pourrai pas m'y rendre physiquement, hélas, mais ma lecture du moment (une histoire d'amour et de ténèbres) me plonge dans la thématique de cette année, la littérature israélienne. J'avance assez lentement dans ce roman autobiographique très dense, qui incite à la réflexion. Son auteur, Amos Os, fait partie des auteurs israéliens invités au salon.
-
Je ne pourrai pas m'y rendre physiquement, hélas, mais ma lecture du moment (une histoire d'amour et de ténèbres) me plonge dans la thématique de cette année, la littérature israélienne. J'avance assez lentement dans ce roman autobiographique très dense, qui incite à la réflexion. Son auteur, Amos Os, fait partie des auteurs israéliens invités au salon.
-
L'an passé j'avais présenté dans un même billet, trois livres sur le thème du conflit israélo-palestinien (ici). L'un des auteurs que j'avais évoqué, Sayed Kashua, est également invité. C'est un journaliste israélien d'origine arabe.
-
-
Dans la liste des invités, j'ai repéré aussi Aharon Appelfeld, écrivain israélien et rescapé de la Shoah. J'ai lu de lui il y a quelques temps "Histoire d'une vie", un impressionnant roman autobiographique. D'ici la fin de la semaine j'essayerai de faire un billet à partir de mes notes de l'époque.
Le site du salon du livre : http://www.salondulivreparis.com/
Le site du salon du livre : http://www.salondulivreparis.com/
Pour finir un extrait de ma lecture du moment :
"Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis. Les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavík, Valladolid ou Vancouver"
Amoz Oz
"Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis. Les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavík, Valladolid ou Vancouver"
Amoz Oz