Editions Points (editions de l'Olivier) - Traduit de l'anglais (USA) par Gabrielle Rollin - 184 pages
Quelques mots sur un recueil de nouvelles que j'ai laissé tomber en cours de route. Des personnages en perdition, qui boivent et se laissent aller à la dérive, voilà ce que je retiens de cette lecture. Une semaine après avoir fermé définitivement le livre, je ne me souviens précisément d'aucun personnage, d'aucune histoire.
Autre raison de mon abandon, la construction des nouvelles. Pas de chute, comme habituellement dans ce genre littéraire, mais des fins ouvertes et énigmatiques (et que je n'ai pas comprises, la plupart du temps).
Sur la quatrième de couverture, Raymond Carver (1938-1988) est présenté comme le "Tchékhov américain". Voilà qui ne m'a pas donné envie d'aller à la rencontre de l'oeuvre de Tchékhov...
Je crois bien qu'entre Raymond et moi, c'est déjà fini...
Valérie (avec qui je partage cette lecture commune) n'est pas plus emballée que moi...