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Chers visiteurs, bonjour !

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Ecoutons un livre

Dépôt des liens : Ici

Tous les 28 du mois, je publie un billet récapitulatif des lectures audio des participants. Il n'est pas nécessaire de participer à chaque fois.

 

 

 

23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 21:48
Mon tour est venu de m’y coller, grâce à Anne qui m’a tendu la perche.
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On y va pour cinq révélations qui vont vous certainement vous scotcher :
 
1 – Les deux premières lettres de mon pseudo sont également celles de mon prénom. Vous vous en doutiez ? Et bien maintenant il ne vous reste plus qu’à le trouver (trop facile !)
2 – J’ai horreur des maths mais je passe mes journées dans les chiffres. Je cache bien mon jeu au travail, mais parfois ça me coûte.
3 – Je suis grande : 1m76.  C’est pratique  pour accéder aux rayons du haut dans les supermarchés, mais pénible quand il faut essayer 15 pantalons avant d’en trouver un à la bonne longueur (car en plus j’ai horreur des feux de plancher).
4 – Je n’ai pas les yeux bridés (mais j’adore la cuisine chinoise).
5 - Je suis bretonne mais, honte sur moi, je suis incapable d'aligner trois mots en breton.
 
Je passe le relais à Florinette, Béatrix et Anne-Sophie.
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21 janvier 2007 7 21 /01 /janvier /2007 00:00
Pour sortir un peu la tête des livres, je vous propose une petite balade dans ma région, le Nord Finistère. Je vous emmène à la pointe de Perharidy à Roscoff. C'est un endroit que j'aime beaucoup. La mer y est turquoise, la végétation magnifique et le jour où nous avons pris les photos il faisait un temps superbe.  Mais oui, cela arrive en Bretagne !
 
 
 
 
 
 
 
  
   
 
Voilà, j'espère que  cette petite bouffée d'air iodé vous aura vivifiés un peu...
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19 janvier 2007 5 19 /01 /janvier /2007 00:00

 

Ce livre fait partie de la sélection du Prix Inter-Ce 2007
 
 
 
 
 
L'auteur :
 
 
Bernard Foglino est né à Bordeaux en 1958 dans une famille italo-française. Il travaille dans la finance et écrit des romans, le soir après le travail. Le Théâtre des rêves est son premier roman.
 
 
L'histoire :
 
Le narrateur, Baptiste Flammini, exerce un bien curieux métier. Il est « chercheur » en perles rares pour collectionneurs. Son champ d'activité n'a pas de limites, pourvu que la rémunération soit alléchante. Au besoin, il fait des faux. Le client n'y voit que du feu, enfin... la plupart du temps. Une de ces recherches, (trouver un poil pubien d'Elvis Presley - oui vous avez bien lu), va être le déclencheur d'une cascade d'aventures rocambolesques qui vont le mener dans le milieu du foot des années 70.
 
Extraits :
 
« J'aurais pu sacrifier une touffe de mes propres poils. Mais cela ne faisait pas sérieux. Le roi du rock ne pouvait tout de même pas avoir les ridicules bouclettes de monsieur Tout-le-monde. Il fallait du flamboyant. De l'animal du volume. Je voulais que M. Ali en ait pour son argent, et il en aurait pour son argent. »
 
« La raclée que j'ai reçue hier faisait partie des aléas du métier. Chaque métier a ses risques professionnels même si le mien n'est pas remboursé par la sécurité sociale. Robert est habitué, et lorsque je suis rentré le visage aplati comme un beignet, il n'a pas eu l'air étonné. Il est allé direct à l'armoire à pharmacie. »
 
Mon avis :
 
Les aventures de Baptiste paraissent, au départ, n'avoir ni queue ni tête. Il fréquente des énergumènes totalement farfelus : Un mage africain, un gardien de morgue manchot, un ancien commentateur de foot à la retraite (Thierry Fringant - plus vrai que le vrai). Il vit des aventures complètement délirantes et nous entraîne dans des lieux pittoresques comme le « Théâtre des rêves », un café où se côtoient des supporters de foot nostalgiques des années 70.
 
On ne s'ennuie pas un seul instant dans ce roman original aux rebondissements inattendus. Le ton est léger, bien que Baptiste ne soit pas forcément heureux dans sa vie marginale et déjantée.
Il faut attendre les derniers chapitres pour trouver un sens à tout cela et surtout pour comprendre qui est Flammini. Le dénouement est vraiment surprenant.
 
 CLARABEL et CUNE ont également aimé ce livre.
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Un premier roman plutôt... décoiffant !
 
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17 janvier 2007 3 17 /01 /janvier /2007 00:00
Ce livre fait partie de la sélection du  PRIX INTER-CE  2007.
L'an passé, j'avais commencé ma lecture par celui qui allait devenir mon favori, ce ne sera pas le cas cette année.
 
 
 
L'auteur :
 
 
Michel Maisonneuve vit en provence. Parallèlement à une carrière de journaliste, il se consacre à l'écriture. Le chien tchétchène (publié chez GAIA) est son troisième roman.
 
 
 
 
 
L'histoire : 
 
Mémé Oumaraq a été sauvagement assassinée dans son appartement. Seuls sont présents à son enterrement deux voisins et le chien de la mémé, un beagle. Dans une voiture, deux hommes observent la sortie du cimetière.
Très rapidement, les deux voisins vont se trouver mêlés à une histoire où se croisent des autonomistes tchétchènes, les services secrets russes, la police française et la pègre marseillaise. Tout ce petit monde va finir par comprendre que le chien détient un secret et qu'il faut à tout prix le capturer.
 
Mon avis :
 
J'ai commencé ce livre avec un à priori positif et certains passages m'ont amusée. Pourtant, ce policier que l'on peut qualifier de "burlesque" n'a pas réussi à me captiver jusqu'au bout. J'ai eu des difficultés à retenir les noms et surnoms des multiples personnages (Roberta Vadim Angouste, Nestor Patipoulos, Dachi El Almed, Ahkhjad Oumaraq, Nuage d'acier...), et j'ai fini par me lasser de cette histoire rocambolesque.
 
Je ne suis pas une grande amatrice de polars. Il ne faut donc pas forcément se fier à mon jugement. Si vous aimez ce genre de roman, je vous engage à consulter la critique très élogieuse de titresurlenet.COM. Peut-être vous donnera t'elle envie de vous lancer à la poursuite de ce chien tchétchène ?
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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 00:10
                            
 D'après une enquête réalisée aux Etats-Unis en 1990 sur les livres qui ont changé la vie de leurs lecteurs, ce livre arriverait en seconde position après la bible.
Bien qu'étant la romancière la plus lue des Etats-unis, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est l'unique roman d'Harper Lee. Il a été publié en 1960 au coeur de la lutte pour les droits civiques.
 
 
 
 L'histoire :
 
Une petite fille, Scout, nous raconte trois années de son enfance dans une petite ville d'Alabama, au sud des Etats-Unis. Elle vit avec son père Atticus Finch et son frère Jem, un peu plus âgé qu'elle. La maman est décédée. Atticus, homme intègre et d'une grande tolérance, tente d'enseigner à ses enfants les valeurs auxquelles il croit.
L'exercice de son métier l'amène à être nommé commis d'office pour défendre un noir accusé d'avoir violé une blanche. Cet homme risque la peine de mort. Les mentalités et le racisme sont tels, que Scout et son frère sont montrés du doigt dans tout le village comme étant les enfants de « l'ami des nègres ». Une période très difficile va commencer pour eux.
 
   
 Mon avis :
 
   Dans la première partie, l'histoire se met en place. On fait connaissance avec le village et ses habitants, puritains et bourrés de préjugés. (Quelques personnages sortent heureusement du lot !). Nous accompagnons les enfants dans leur vie quotidienne, à l'école ou dans leurs relations avec le voisinage.
Le temps s'écoule doucement. L'éducation que les enfants reçoivent est absolument remarquable et tout à fait avant-gardiste.
   La deuxième partie est consacrée principalement à la période du procès. Elle m'a semblée plus captivante. On vit au rythme des évènements qui déchaînent les passions dans la ville de Maycomb. Du jour au lendemain, la vie des enfants bascule. La maturité dont ils font preuve est impressionnante, venant probablement de l'éducation qu'ils ont reçue et de la grande sérénité de leur père face à la situation.
On comprend, à la toute fin du roman, que les éléments qui amènent au dénouement se trouvent dans la première partie.
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Ce livre est plus qu'une belle histoire. Il nous apporte un éclairage très intéressant sur la vie et la mentalité d'une petite ville du sud des Etats-Unis dans les années 30.
Une postface écrite par Isabelle HAUSSER donne quelques éléments très utiles pour l'interprétation de certains passages du livre, et sur le contexte culturel et historique de l'histoire.
Voir l'avis, enthousiaste lui aussi, de  Hervé
Un hymne à la justice à la tolérance.
 
 
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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 00:00
                    
Je voudrais vous présenter un prix qui me tient à cœur, et auquel je participe en tant que lectrice.
Il est diffusé par 20 associations INTER-CE en France. Près de 4000 lecteurs de 300 comités d’entreprise ont été jurés de ce prix en 2006. Il existe un prix National et des prix régionaux. On vote donc pour deux prix en même temps.
A titre personnel, je participe au Prix des lecteurs du Nord Finistère qui regroupe des comités d’entreprise, des bibliothèques et des lycées de la région.
 
 
 Une sélection originale :
 L'originalité tient au fait que les écrivains choisis ne sont pas connus, et que leur roman doit avoir été publié dans une petite ou moyenne maison d’édition.
Des écrivains sélectionnés pour ce prix ont fait par la suite leur petit bonhomme de chemin :
On peut citer :
Thierry MAUGENEST, Jean-Philippe BONDEL (et oui mesdames), Laurence TARDIEU, Claudie GALLAY, Fatou DIOME, Dominique MAINARD…
 
Des échanges entre lecteurs :
 Dans les entreprises, les salariés ont l’occasion de sortir de leurs discussions habituelles autour de la machine à café. Dans les bibliothèques et lycées, ces lectures communes rapprochent les lecteurs.
 
Des rencontres d ‘auteurs :
Les auteurs sont invités à venir échanger avec leurs lecteurs. Cela donne lieu à des échanges spontanés, avec des auteurs « tout neufs », pas encore médiatisés. En général, ils sont ravis de rencontrer leurs lecteurs. Ces derniers, se connaissant entre eux, osent poser des questions. Je ne rate aucun des ces rendez-vous. Je vous ferai des petits comptes-rendus de mes rencontres 2007.
 
Pour 2007, la sélection est la suivante :
  - Courir dans les bois sans désemparer, Sylvie AYMARD (Éditions Maurice Nadeau)
- Comment immigrer en France en 20 leçons, Luc BASSONG (Éditions Max Milo)
- Bleu, blanc, vert, Maïssa BEY (Éditions de L'Aube)
- Et le ciel a oublié de pleuvoir, BEYROUK (Editions Dapper)
- Les yeux des chiens ont toujours soif, Georges BONNET (Editions Le temps qu'il fait)
- Le théâtre des rêves, Bernard FOGLINO (Éditions Buchet-Chastel)
- Scream test, Grégoire HERVIER (Éditions Au diable vauvert)
- L'heure et l'ombre, Pierre JOURDE (Éditions L'Esprit des péninsules)
- Le chien tchétchène, Michel MAISONNEUVE (Gaïa Éditions)
      - les doigts écorchés, Sylvie ROBIC (Éditions Naïve)
  
Connaissez-vous ces titres ou auteurs ?
Aviez-vous connaissance de ce prix ?
           
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8 janvier 2007 1 08 /01 /janvier /2007 00:00
  
L'histoire :
 
Dans ce conte symbolique à l'atmosphère étrange, nous vivons cinq journées des soeurs Delicata, sur la période de Noël.
Au début du livre, les sept petites filles fabriquent des anges avec entrain, comme chaque année à la même époque. Elles ne sont pas baptisées, mais sont entourées de personnes aux religions différentes.
Très vite, les préparatifs de Noël prennent des allures de cauchemar. Maman quitte l'appartement mystérieusement. Grand-mère oiseau s'arrête de chanter. L'autre grand-mère, la communiste aux jambes inertes et au visage déformé, débarque et s'installe dans l'appartement. Dans le même temps, papa et la gouvernante ont des comportements vraiment très bizarres.
Les petites comprennent peu à peu la situation. Pour se consoler d'être ainsi délaissées par les adultes, elles jouent et s'inventent des histoires.
 
 Mon avis :
 
Occupée par la création de mon blog, j'ai mis une semaine à lire ce court roman.
J'ai toutefois apprécié, chaque soir, de plonger pour quelques pages dans le petit monde des soeurs Délicata. Un monde peuplé de personnages étranges, certains imaginaires, d'autres bien réels comme celui de la grand-mère oiseau « prisonnière de son esprit enfui ». J'ai beaucoup aimé ce personnage.
Curieusement, on accompagne les fillettes dans leur malheur sans réelle tristesse. Peut-être parce qu'elles-mêmes gardent une certaine distance face à la méchanceté des adultes et à leur égoïsme. Elles se soudent entre elles et s'évadent par leurs jeux collectifs, comme savent le faire les enfants.
Loin d'être dupes, elles jettent un regard sans concession sur le monde impitoyable des adultes. Elles ont perdu à jamais l'innocence qui caractérise l'enfance.
"nous n'aurions pas dû voir ce que nous avons vu, ni entendre ce que nous avons entendu, et maintenant il est trop tard"
 
      Un univers original à découvrir.
 
 
L'avis de : Allie
 
 
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6 janvier 2007 6 06 /01 /janvier /2007 10:23

  Je vous suggère d'aller consulter le blog de Camille : 

 

    http://leslecturesdecamille.blogspirit.com/

 

Photo

 

  Elle y a listé, aujourd'hui même, les 101 blogs de littérature francophone qui composent le moteur de recherche qu'elle a créé. 

  Pour ceux qui ne connaissent pas cet outil, c'est là :

                                 Le moteur de Camille

 

  

 

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5 janvier 2007 5 05 /01 /janvier /2007 00:01
               
             L'histoire : 
 Pour une lecture amusante et divertissante (et quelques fous rires assurés), plongez-vous dans les aventures d’Hector, un obsédé de la collection.
Lassé de collectionner tout et n’importe quoi (les piques apéritifs, les étiquettes de melon, les badges de campagne électorale…), Hector voudrait une bonne fois pour toutes se désintoxiquer. Il fréquente les "collectionneurs anonymes", sans grand succès. Il finit pourtant par entrevoir la guérison, en tombant éperdument amoureux de la femme de sa vie. Hélas pour lui (mais pas pour nous), il replonge et se met à collectionner les moments où sa femme lave les vitres ! à l’insu de cette dernière, bien entendu…
            
Mon avis :
Il faut quelques pages pour à se mettre dans l’ambiance. Mais une fois qu'on y est, on s’amuse beaucoup des péripéties de ce collectionneur déjanté.
Les situations cocasses et surréalistes s’enchaînent pour notre plus grand plaisir. Des personnages, tous plus farfelus les uns que les autres, gravitent autour d'hector.  
Pour ce livre, David FOENKINOS a obtenu,en 2004, le prix ROGER NIMIER.
Ce jeune auteur a une imagination débordante et un humour bien à lui. Il mérite vraiment d’être connu. Je vous conseille également la lecture de «en cas de bonheur».   
 
Si la morosité vous gagne, en ce début de l’année, courrez chez votre libraire car ce livre est pour vous !
 
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2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 21:00
  
 
 
 
 
 
 
            
 L’histoire, en quelques lignes :
Myriam, fantaisiste et épicurienne, vient d’ouvrir un restaurant qu’elle a nommé « chez moi » Elle y habite, n’ayant pas les moyens de s’offrir un logement. Après un démarrage chaotique, ce restaurant « pas comme les autres » commence à trouver sa clientèle et une certaine rentabilité, en partie grâce à l’aide providentielle d’un jeune homme dévoué qui l’incite à garder les pieds sur terre.
Malgré ce succès presque inespéré, Myriam souffre en silence. Elle a commis un acte inavouable, il y a quelques années, qui lui a valu l’exclusion de sa famille. Les blessures du passé ne sont pas refermées. La journée, elle se démène pour préparer ses recettes avec beaucoup d’amour et de poésie, cachant comme elle peut la douleur qui ronge. Mais la nuit elle craque et se souvient de ce fils, qui a certainement grandi depuis ce jour où... 
 
 Petit extrait qui donne  le ton du livre :
Mon restaurant sera petit et pas cher. Je n'aime pas les chichis. Il s'appellera Chez moi, car j'y dormirai aussi ; je n'ai pas assez d'argent pour payer le bail et un loyer.
On y mangera toutes les recettes que j'ai inventées, celles que j'ai transformées, celles que j'ai déduites. Il n'y aura pas de musique - je suis trop émotive - et les ampoules qui pendront du plafond seront orangées. J'ai déjà acheté un réfrigérateur géant Avenue de la République
. Ils m'ont promis un four et une table de cuisson bon marché. « C'est pas grave si c'est rayé ? » -
« Pas grave du tout ! Je suis moi-même assez rayée. » Le marchand ne rit pas. Il ne sourit pas. Les hommes n'aiment pas les femmes qui se dévaluent.
 
 Mon avis :
Je rejoins les avis élogieux que j'ai lus et entendus. J'ai dévoré ce livre d'une traite. Je ne pouvais pas quitter Myriam.
Cette femme est pleine de contradictions et c’est ce qui la rend si attachante. Elle se donne beaucoup de peine pour son restaurant et le met pourtant en péril. Elle se bat pour trouver le bonheur et quand il pointe le bout de son nez, elle le fuit pour ne pas souffrir.
C’est un roman où se côtoient sans cesse les joies et les peines. Ou les situations amusantes sont suivies de souvenirs douloureux. L’optimisme de Myriam prend toujours le dessus, ce qui donne au livre une atmosphère plutôt légère.
A travers ce portrait de femme, Agnès Desarthe explore formidablement  bien la complexité du sentiment maternel, qui peut être à l'origine de grandes souffrances pour les femmes.
J’ai adoré l’ambiance très cosy de ce Chez-moi. Les amoureux de la cuisine se régaleront à l’évocation de mets qui donnent l’eau à la bouche. Ceux qui ont rêvé un jour d’ouvrir un restaurant vivront leur rêve par procuration (les soucis en moins !).
 
A savourer avec gourmandise comme les mets délicieux que concocte Myriam à ses amis clients.
Florinette et Lily (entre autres) ont lu ce livre. Je ne suis pas encore tout à fait au point avec l'utilisation des liens, alors ce sera pour une prochaine fois !
            
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