les presses de la cité - juin 2010 - 176 pages
L’espace d’un week-end, une femme de soixante-dix ans, Costanza, reçoit chez elle en Provence la fille de son ex-amant, ancien violoncelliste aujourd’hui disparu. La jeune femme a découvert des lettres adressées à son père. Les souvenirs de Costanza remontent à la surface. Le couple illégitime s’aimait et pourtant leur relation a pris fin subitement. Costanza évoque avec la jeune femme cet amour manqué. La relation entre les deux femmes prend une tournure amicale...
On a beaucoup parlé de ce roman "semi-épistolaire" sur les blogs, mais en termes si peu élogieux que j’avais un peu la flemme de le commencer. Je l’ai pourtant lu relativement vite et facilement. Quelques jours sa lecture, il ne m’en reste toutefois pas grand-chose. Sans doute parce qu’il ne s’y passe pas grand-chose, justement. Le charme de ce livre tient à son ambiance un peu surannée mais je rejoins la plus part des avis, on s’y ennuie un peu.
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