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Chers visiteurs, bonjour !

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Ecoutons un livre

Dépôt des liens : Ici

Tous les 28 du mois, je publie un billet récapitulatif des lectures audio des participants. Il n'est pas nécessaire de participer à chaque fois.

 

 

 

10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 00:04
rue de Sèvres 2015 - 168 pages
rue de Sèvres 2015 - 168 pages

La guerre de 14 tire à sa fin quand Albert Maillard et Edouard Péricourt frôlent la mort sur un champ de bataille. Le premier s'en sort sans séquelles, sinon psychologiques alors que le second perd la moitié du visage. Les deux hommes, d'origines sociales différentes, ne se seraient jamais côtoyés si Edouard n'avait pas sauvé la vie de son camarade.

On les retrouve après la guerre, partageant le même logement, Albert travaille pour deux et Edouard se fait désormais appeler Eugène. Il ne veut plus voir sa famille et notamment son père, un homme froid qui n'a jamais accepté sa fantaisie. Le brave Albert tente de distraire son ami sans visage. Ce dernier, souffrant le martyre, physiquement et psychologiquement, se laisse aller à l'apathie, se droguant plus que de raison pour calmer la douleur. Il se fabrique des masques pour passer le temps (il a toujours aimé dessiner). Un jour lui vient une drôle d'idée : monter une escroquerie en se faisant de l'argent sur le dos des morts de la guerre. Albert finira par le suivre dans sa folle aventure...

C'est la première fois que je lis une adaptation d'un roman en bande dessinée. Mon ressenti est très positif même si j'avoue avoir été un peu frustrée par la version très épurée du texte, en comparaison du pavé de 600 pages de Pierre Lemaitre. L'essentiel y est mais je me demande si l'histoire n'est pas difficile à saisir si l'on a pas lu le roman auparavant.

Ce sont les dessins, remarquables, qui portent l'histoire. Je n'ai pas noté de décalages entre les personnages tels que je les imaginais, et la façon dont Christian De Metter les a croqués. Il est resté très fidèle aux descriptions assez minutieuses de Pierre Lemaitre. Les visages sont dessinés de façon réaliste, notamment celui d'Edouard Péricourt, assez saisissant avec sa moitié de visage en moins. Les masques d'Edouard sont également très réussis.

C'est une très belle adaptation.

L'avis de Leilonna et ceux de Noukette - Antigone - Jérôme (qui n'ont pas lu le roman au préalable mais que cela n'a pas dérangé).

Au revoir là-haut - Pierre Lemaitre (BD)

vous pouvez cliquer sur la planche pour l'agrandir.

Au revoir là-haut - Pierre Lemaitre (BD)

La BD de la semaine, c'est chez Noukette aujourd'hui

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6 février 2016 6 06 /02 /février /2016 17:56
Phlippe Rey - 192 pages - août 2015
Phlippe Rey - 192 pages - août 2015

"C'est pour ça que je vivrai ta vie, que mon sang aura désormais toujours 16 ans. Tu me regarderas et me guideras selon ce que tu fus, ce que tu promettais, ce que tu aimais de moi. Je vais exister par en-dessous, par soustraction, par extension de toi, dans la copie de ta pudeur contre mon excentricité, de ta réserve contre mon exubérance, de ton repli contre mes tripes à l'air".

Ce livre a passé plusieurs semaines sur ma table de chevet avant que je me décide à l'ouvrir. J'ai lu les premières lignes, pour me faire une idée du style et l'ai lu quasiment d'une traite, subjuguée par le style de l'auteure.

Quelques semaines après la mort brutale de Camille, terrassée par une forte fièvre, Sophie Daull a pris sa plume pour raconter ce cauchemar épouvantable. Elle évoque les quatre jours où sa fille s'est battue contre un mal diagnostiqué par le corps médical comme une simple grippe. Elle nous fait partager la sidération ressentie, quand au terme de sa lutte, le corps de Camille s'est arrêté de vivre. Ensuite, il a fallu s'atteler aux démarches qui permettent de mettre la douleur à distance un moment.

C'est à sa fille que Sophie Daull s'adresse tout au long du récit en utilisant un "tu" qui la rend vivante à nos yeux. Le thème évoqué me faisait peur mais je ne regrette pas d'avoir dépassé mon appréhension. Sophie Daull a su trouver les mots justes pour raconter les faits sans aucune once de pathos et même une certaine dose d'humour (ou peut-être plus justement d'ironie). Elle parvient à sous insuffler la force qui lui permet de tenir debout.

Camille, mon envolée - Sophie Daull

Ce récit est d'une dignité, d'une poésie, d'une beauté à couper le souffle. Si vous hésitez à vous lancer, je vous conseille de regarder cette vidéo où Sophie Daull présente elle-même son livre.

Les avis (très positifs également ) d' Antigone - Mirontaine - Martine - Laure

Stephie nous explique pourquoi ce livre n'est pas pour elle.

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4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 22:12

J'ai eu pas mal de commentaires suite à mon billet sur "L'arabe du futur". J'ai cherché sur internet des vidéos où Riad Satouff s'explique sur son projet et j'ai trouvé cet extrait d’émission qui nous éclaire un peu plus sur sa démarche.

C'est une BD qui soulève beaucoup de questions, en cela je la trouve vraiment intéressante. Avoir des réponses (au moins en partie), c'est encore mieux.

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3 février 2016 3 03 /02 /février /2016 00:41
L'arabe du futur 2 - Riad Sattouf (BD)

Dans le premier opus (l'Arabe du Futur 1/ 1978-1984), Riad Sattouf nous racontait sa petite enfance, de la naissance à 6 ans. Né d'une mère bretonne et d'un père syrien, Riad a été confronté à deux cultures qui lui font faire le grand écart. Entre sa grand-mère bretonne et sa grand-mère syrienne, il était difficile de trouver un quelconque point commun. La singularité de l'enfance de Riad m'avait frappée à la lecture de ce premier tome. Je dois même dire que je m'étais demandé s'il ne forçait pas le trait quand il évoquait la vie quotidienne et Libye et en Syrie. L'aveuglement du père par rapport aux régimes dictatoriaux en vigueur m'avait sidérée tout autant que l'effacement de sa mère devant son mari.

Dans le deuxième opus, qui couvre les années 1984 et 1985, Riad découvre l'école. J'ai été de nouveau interloquée par ce que rapporte l'auteur. On est dans la même lignée que le premier tome. Le père de Riad est toujours aussi peu critique vis à vis du régime d'Hafez-Al-Assad. En revanche, et cela m'a fait plaisir, il m'a semblé que la mère s'affirmait davantage. Quant au petit Riad, il ne veut pas décevoir son père. Il met donc un point d'honneur à se comporter un bon petit écolier syrien, subissant sans broncher la méchanceté de la maîtresse et l'injustice qui règne à l'école. Je ne vous cacherai pas que certaines situations sont si grotesques et ubuesques que cela en est presque dérangeant. L'humour et l'autodérision, omniprésents, atténuent toutefois cette impression.

Deux autres tomes sont prévus, le 3ème est en cours d'élaboration, je crois. Je m'en réjouis car c'est une BD vraiment très plaisante à lire. Les dessins sont savoureux et le texte tout autant.

L'avis de Jérôme

L'arabe du futur 2 - Riad Sattouf (BD)

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L'arabe du futur 2 - Riad Sattouf (BD)

La BD de la semaine, c'est chez Yaneck

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1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 00:34

Comme chaque mois, voici un aperçu de mes loisirs.

Côté livres,

L'ouvrage le plus marquant de mes lectures de janvier est le roman de Sophie Daull "Camille, mon envolée".

Je vous en parle dans quelques jours.

Janvier, des livres et quoi d'autre ?

Côté cinéma, je suis allée voir "Demain", de Cyril Dion et Mélanie Laurent, encouragée par une amie qui me l'avait vivement conseillé. C'est un documentaire que je n'aurais sans doute pas eu l'idée d'aller voir de ma propre initiative.

Janvier, des livres et quoi d'autre ?

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En partant du constat que notre monde va mal sur plusieurs plans (économique, écologique, sociétal) et court à sa perte si rien n'est fait pour stopper les processus enclenchés, Cyril Dion et Mélanie ont fait le tour du monde pour rencontrer des personnes qui refusent cette fatalité et proposent à leur échelle des solutions alternatives.

Je dois dire que ce documentaire m'a fait rêver. Mais nous sommes loin des modèles proposés. C'est une véritable révolution culturelle qu'il faudrait mettre en place pour que ces expériences formidables soient transposables à grande échelle. Cela dit, chaque individu a la possibilité d'agir, s'il en a la volonté, pour tenter de se comporter en citoyen responsable et cheminer vers la voie proposée par le film. La balle est donc dans notre camp à tous.

La bande annonce résume bien les thèmes évoqués :

Côté DVD :

J'ai conseillerai deux films très différents.

La vie des autres - de Florian Von Donnersmarck en 2006 (film allemand)

Janvier, des livres et quoi d'autre ?

Nous sommes à Berlin Est, en 1984. Le mur n'a pas encore été abattu et la Stasi (police politique de la R-D-A) surveille de près les intellectuels qui sympathisent avec les idées de "l'ennemi" occidental. Le dramatuge Gorge Dreyman, bien que très discret sur ses opinions politiques, va faire l'objet d'une surveillance rapprochée car sa compagne attire la convoitise d'un ministre qui se débarrasserait bien du mari. Un agent de la stasi, Wiesler, est mis sur le coup. Mais les convictions de Wiesler, fasciné par le couple, vacillent peu à peu...

Voilà vraiment un excellent film historique, qui permet de bien comprendre ce que pouvait être la vie des habitants de la RDA du temps de la guerre froide. L'histoire est un peu lente à démarrer mais on ne s'ennuie pas pour autant car il faut prendre le temps de bien s'approprier le contexte. La tension monte crescendo jusqu'au dénouement. Ce film intelligent, très bien interprété, a obtenu l'oscar du Prix étranger en 2007.

A voir absolument si ce n'est déjà fait !

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Comme un avion de Bruno Podalydès (avec notamment Denis Podalydès, Sandrine Kiberlain et Agnès Jaoui)

Janvier, des livres et quoi d'autre ?

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Michel, la cinquantaine, traverse une crise de milieu de vie et se cherche une passion. Au début du film, ce sont les avions qui l'obsèdent. Mais quand ses copains lui offrent des cours d'aviation, il met un terme à sa lubie (il n'a aucune envie de voler) et s'en trouve une autre : le kayak. En cachette de sa femme dans un premier temps, il acquière le matériel et s'exerce sur son toit. Une fois prêt (enfin, à sa façon) il pose une semaine de congés et annonce à sa femme qu'il va partir seul sur son kayak. Cette dernière l'accompagne à l'endroit où il a décidé de mettre son kayak à l'eau et c'est parti pour l'aventure.

J'ai regardé ce DVD en famille et je vous avouerai qu'au début du film, nous avons eu un gros doute sur le fait qu'il puisse nous plaire. Mais peu à peu, la bonne humeur des personnages nous a gagnés et nous avons commencé à éclater de rire devant certaines scènes vraiment cocasses. La nonchalance de Michel fait de lui un personnage attachant et impayable. Il y a beaucoup de "loufoqueries" dans ce film mais on laisse prendre au jeu avec un certain bonheur. J'ajouterai que les musiques qui accompagnent le film sont particulièrement bien choisies.

Ce n'est pas le chef d'oeuvre du siècle mais c'est un film sympa auquel je pense en souriant et en chantonnant "Le temps de vivre de Georges Moustaki" (que l'on retrouve dans la playlist du film et qui résume bien son état d'esprit).

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29 janvier 2016 5 29 /01 /janvier /2016 00:43
cliquez sur l'image pour l'agrandir
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Cette année, je fais de nouveau partie du jury du Prix Audiolib et j'en suis ravie.

J'ai déjà lu trois des titres de la sélection en version papier : "Si c'est un homme", "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" (qui sont d'excellents titres ) et "Le meilleur des mondes" (qui ne m'avait pas enthousiasmée). Je ne suis pas mécontente de relire ces ouvrages en version audio, c'est une expérience souvent intéressante. On y découvre les textes sous un autre angle et quand le lecteur est bon c'est vraiment très agréable.

J'ai décidé de commencer mes écoutes par le livre le plus court : "Des fleurs pour Algernon". Je finirai la sélection par ceux que j'ai déjà lus. A première vue, je suis satisfaite de la sélection, assez variée. Je me réjouis à l'avance d'échanger sur les titres avec les copines qui font partie du jury.

En quelques mots, voici les différentes étapes du déroulement du prix :

Audiolib propose une sélection de 10 titres à un jury de blogueurs qui, après les avoir écoutés, en retiendra cinq. Ces cinq livres sont ensuite soumis au vote du public.

Pour en savoir plus, allez faire un tour sur le site Audiolib en cliquant sur le logo. Vous y trouverez notamment la liste des blogs qui participent au jury.

Le prix audiolib version 2016

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28 janvier 2016 4 28 /01 /janvier /2016 00:21
vous pouvez cliquer sur la photo pour l'agrandir
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Voici ma participation à l'atelier "Âme graphique" du Petit carré jaune, sur le thème de l'évasion.

Ma photo symbolise l'évasion et son contraire, la privation de liberté. Je l'ai prise en 2013, dans la baie de Morlaix (Finistère) à l'occasion de la fête "Terre et Mer" à laquelle nous assistions en tant que spectateurs.

Au premier plan, vous pouvez voir un vieux gréement. En arrière plan, il s'agit du Château du Taureau. L'édifice, entouré de mer, servait de prison au 18e siècle. Il était impossible de s'y évader sinon par le rêve, en regardant passer les voiliers par la meurtrière de son cachot ...

Allons vite voir les autres photos d'évasion chez "Le petit carré jaune"

Evasion - Atelier "Ame graphique"

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 00:01
janvier 2016 - 262 pages
janvier 2016 - 262 pages

Une bombe est tombée sur une ferme, nous sommes en guerre. Les seuls rescapés sont une jeune femme et un porcelet. La femme a perdu son enfant, le porcelet a vu mourir sa mère. Les deux êtres vont faire un bout de chemin côte à côte, la femme nourrit le jeune animal. Puis ce sera une daine qui prendra soin de lui. La chance lui sourit, il aurait dû mourir dix fois mais il s'en est toujours sorti. La rencontre avec un jeune adolescent blessé va être de nouveau une belle opportunité puisqu'il va naître une seconde fois, enfin, d'une certaine façon.... Ce résumé de la première partie doit vous paraître un peu étrange mais vous l'aurez compris nous sommes dans le registre du conte, donc tout est possible. Je dois dire que cette partie, originale et prenante est ma préférée.

Dans la seconde partie, en lien avec la première, nous faisons la connaissance de Babel, un jeune garçon sauvage et peu civilisé, qui a perdu la mémoire. Par chance, il a été recueilli par une femme qui l'a pris sous son aile. Nul ne sait d'où il vient. Peu à peu, grâce aux rencontres qu'il fait, Babel se civilise, tout en gardant la fraîcheur de celui qui a découvert le monde sur le tard et continue à s'en émerveiller. Il représente la bonté et la joie de vivre quand tout autour de lui respire la cruauté et la haine.

Sylvie Germain nous présente un monde violent, irrespectueux des animaux et de la nature. Un pays imaginaire, qui fait miroir au nôtre et dans lequel les hommes s’entre-tuent et se font du mal. J'ai trouvé le propos (hélàs) juste mais je dois dire que j'ai regretté, par moments, que le discours philosophique éclipse un peu trop l'histoire. En dehors de Babel (qui devient Abel), je suis restée à distance des personnages.

Ce n'est pas le livre de Sylvie Germain que je préfère, mais c'est une lecture intéressante et d'actualité.

L'avis de Jostein

Lu dans le cadre d'un partenariat avec Albin Michel.

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23 janvier 2016 6 23 /01 /janvier /2016 00:41
La lectrice, Madeleine Lesage
La lectrice, Madeleine Lesage

J'aime bien ce petit jeu qui consiste à répondre à des questions en utilisant des titres de livres. Pour y jouer, j'ai pioché dans mes lectures de 2015.

1/ Décris toi : La reine des lectrices

2/ Comment te sens tu ? Prête à tout

3/ Décris où tu vis actuellement ? Aravida

4/ Si tu pouvais aller où tu veux, où irais tu ? L'ile du point Nemo

5/ Ton moyen de transport préféré ? Trois mille chevaux vapeur

6/ Ton/ta meilleur(e) ami(e) est : Le liseur

7/ Toi et tes amis vous êtes : Otages intimes

8/Comment est le temps ? Chien de printemps

9/ Quel est ton moment préféré de la journée ? Danser les ombres

10/ Qu'est la vie pour toi ? Un don

11/ Ta peur ? La mort s'invite à Pemberley

12/ Quel est le conseil que tu as à donner ? Trompe la mort

13/ La pensée du jour : Mentir n'est pas trahir

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20 janvier 2016 3 20 /01 /janvier /2016 00:29
Les éditions de la Gouttière - 70 pages
Les éditions de la Gouttière - 70 pages

Pour libérer ses parents, accaparés par un déménagement, Nora est confiée à son oncle, à la campagne. La fillette n'est pas ravie par la perspective de ces vacances forcées et commence son séjour en boudant mais bien vite, son caractère enjoué prend le dessus. L'oncle est très occupé par les travaux de la ferme, ce qui laisse à Nora du temps pour fouiller le grenier, rêvasser au creux de l'arbre qui lui sert de quartier général ou épier la vieille voisine, qui passe de longues heures, sur un banc, plongée dans ses pensées. Intriguée par sa solitude, la fillette interroge son oncle sur le passé de la vieille femme. En partant du peu qu'elle apprend, la fillette reconstitue le passé de la voisine et lui brode un avenir imaginaire, partant d'une théorie plutôt originale : la vieille femme est seule parce que son fiancé a oublié de naître. Mais où trouver quelqu'un qui a oublié de naître ?

Cette BD, destinée à un jeune public, explore un certain nombre de sujets qui préoccupent les enfants, comme la guerre, le mystère de la naissance ou celui de la mort. Il est également question de la solitude avec laquelle il faut composer, parfois. Les dessins, sans sophistication, sont couleur sépia. Vers la fin, le bleu fait son apparition pour représenter ceux qui ont "oublié de naître".

Une jolie découverte que je dois à l'opération "Masse critique" de Babelio

cliquez pour agrandir
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Nora - Léa Mazé (BD)

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Nora - Léa Mazé (BD)

La BD de semaine, c'est chez Noukette, ce mercredi.

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