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Ecoutons un livre

Dépôt des liens : Ici

Tous les 28 du mois, je publie un billet récapitulatif des lectures audio des participants. Il n'est pas nécessaire de participer à chaque fois.

 

 

 

9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 20:34

 

 

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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 22:06
Cela faisait un petit moment que je n'avais pas été taguée ! Mais Joëlle a eu l'extrême gentillesse de penser à moi alors allons-y!
 
Avant toute chose je dois vous exposer le règlement :
 
Ecrire le lien de la personne qui nous a tagué
 
Préciser le règlement sur son blog
 
Mentionner six choses sans importance sur soi
 
Taguer six autres personnes en mettant leur lien
 
Prévenir ces personnes sur leur blog respectif
 
Voilà donc six choses sans importance sur moi :
 
1/ J'ai peur des souris et encore plus des rats, même en dessin animé. J'ai eu quelques craintes durant les quinze premières minutes de Ratatouille, j'ai cru que je ne tiendrais pas jusqu'au bout. Mais, soutenue par ma plus jeune fille, j'ai été très courageuse et je n'ai pas craqué.
 
2/ je suis incapable de parler tout en conduisant, ou alors à 30 à l'heure… Inutile de vous dire que le matin, quand je conduis mes enfants à l'école, ils ne m'adressent jamais la parole.
 
3/ J'ai toujours une tasse de quelque chose à moitié vide. Je la trimbale partout dans la maison, je l'oublie, je la laisse refroidir, je la réchauffe au micro-onde… Souvent j'en ai deux ou trois "en cours".
 
4/J'ai toujours peur que mes enfants prennent froid. Je les bassine donc (même les grands) pour qu'ils ferment leur blouson, qu'ils mettent une écharpe…
 
4/ Quand je rentre chez moi, je me précipite à l'ordinateur pour voir si j'ai des messages. Je suis un peu accro (juste un peu).
 
5/ Quand je regarde (rarement) le journal télévisé, je ne peux pas me concentrer sur ce que dit le présentateur si sa cravate est moche ou mal assortie avec sa tenue. Je sais, c'est idiot, mais je n'y peux rien.
 
6/ Quand j'achète du chocolat blanc (amandes-noisettes par exemple) je ne peux pas en garder pour le lendemain. Je me goinfre la tablette dans la journée.
 
Je passe le relai à : 
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 00:18
Editions :  Au  diable vauvert 2007
L'histoire :
Porteurs d'âmes est un roman à trois voix. Léonie est une jeune africaine de 20 ans qui vient de s'échapper d'une maison où elle était séquestrée depuis l'âge de 8 ans, subissant un véritable calvaire, violée et battue chaque jour. Cyrian est un fils à papa, étudiant à l'école européenne supérieure des sciences (EESS). Le troisième personnage, Edmé, est un flic d'une cinquantaine d'années blasé par son métier et par dégoûté par la vie.
Ces personnages, tous aussi différents les uns des autres, vont se trouver mêlés à une même histoire mais jusqu'à la moitié du livre, on les suit séparément :
Léonie, sans argent après sa fuite, teste pour un laboratoire un médicament aux effets secondaires angoissants. Cyrian, le jeune privilégié, rejoint une sorte de confrérie qui lui propose un voyage extracorporel. Edmé le flic, mène une enquête suite à la découverte d'un corps dans la Marne. Son intuition le pousse à approfondir les investigations…
 
Mon avis :
Voilà le genre de roman (présenté comme policier et d'anticipation) vers lequel je ne vais pas spontanément. Je l'ai lu parce qu'il se trouve dans la sélection du Prix Inter-ce auquel je participe. En dépit de mes à priori, je me suis attachée très vite aux personnages et j'ai bien apprécié ma lecture. Je l'ai lu quasiment d'une traite, profitant d'un dimanche pluvieux.
Au départ, j'ai eu quelques difficultés à supporter la violence omniprésente : le calvaire de Léonie, les découvertes macabres d'Edmé, la violence du parcours initiatique imposé à Cyrian pour intégrer la confrérie des titans. Puis j'ai compris que l'auteur avait un message à faire passer, qu'il se servait de cette histoire pour dénoncer la violence de la société et son injustice. Bien au chaud dans nos maisons et notre confort, nous fermons les yeux sur ce qui se passe autour de nous… Ce livre réveille nos consciences comme il réveille celle de Cyrian, le gosse de riche, quand son âme quitte son corps pour un étonnant voyage.
Il ne faut pas trop en dire pour ne pas casser le suspense car c'est aussi  un thriller même si on ne peut pas le réduire à cela. 
 
Un voyage dans l'âme humaine qui donne à réfléchir...
 
Un autre avis sur biblioblog
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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 23:58
Il n'est pas toujours facile de parler d'un livre… raconter une rencontre, c'est parfois plus difficile encore. Comment traduire avec des mots la soirée que je viens de passer ? J'ai hésité à faire un billet parce que je savais d'avance qu'il me serait impossible de tout dire.
 
Fabrice vigne est quelqu'un de très sensible, à l'image de ses écrits. Il était invité par la bibliothèque de ma ville pour parler de son dernier roman "Les Giètes" publié chez Thierry Magnier dans la collection "Photoroman". C'est avec beaucoup d'émotion qu'il nous a parlé de ce livre dont les personnages sont inspirés de sa propre histoire.
J'ai découvert Les Giètes il y a quelques mois et j'ai eu un coup de cœur. (J'en parle ici et .). J'avais eu à cette époque un échange de mails avec Fabrice car en tapant le titre de son roman sur un moteur de recherche il était tombé sur mon billet et m'avait laissé un commentaire.
Pendant près de trois heures, Il a répondu à nos questions avec beaucoup de gentillesse, s'appliquant à répondre le plus justement possible. Nous avons parlé des Giètes tout d'abord, de sa construction à partir d'une douzaine de photos personnelles d'Anne Rehbinder dont il ne savait rien. Ensuite il nous a présenté ses autres livres (adultes et jeunesse). Pour finir, il  nous a parlé de son travail d'écrivain. Il ne cherche pas à vendre à tout prix. Il souhaite avant tout chose, avoir la possibilité de prendre le temps dont il a besoin pour peaufiner ses histoires.
J'ai acheté trois de ses livres (difficiles à trouver en librairie, il n'en reste que quelques exemplaires). Sur l'un d'entre eux (TS) il m'a offert une très jolie dédicace que je vous livre ici (les deux autres dédicaces sont également originales). Mais je dois d'abord vous expliquer comment il a procédé : il avait avec lui un vieux dictionnaire (pas n'importe lequel, celui du roman en question). Il m'a fait choisir un chiffre, il a ouvert le dictionnaire à la page correspondant au chiffre et il a choisi un mot :
 
 
 
J'ai lu aussi  tout dernièrement Jean 1er Le Posthume, roman historique. La suite est en cours d'écriture et devrait sortir cette année, toujours chez Thierry Magnier (roman jeunesse).
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Pour en savoir plus sur Fabrice Vigne : http://auteurs.arald.org/biogr/Vigne1969.html
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Un auteur à découvrir… et qu'en ce qui me concerne, je vais continuer à suivre. 
 
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4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 00:58
 
Samedi après-midi, je suis allée au vernissage d'une exposition de photographies proposée par la bibliothèque de Landivisiau (29) sur le thème suivant : 
 
Des écrivains de Bretagne sur leur lieu d'écriture.
 
Yann Le Neveu a eu l'idée fort sympathique de photographier des écrivains dans leur cadre de vie et d'écriture. Certains de ces auteurs sont très connus au niveau national comme Benoîte Groult, Erik Orsenna ou Patrick Poivre d'Arvor, d'autres moins car ce sont des auteurs régionaux. 
Pour chaque écrivain, plusieurs photographies sont présentées dans un même cadre. Cela donne un effet très vivant. L'intérieur de leur maison est parfois photographié, d'autres fois l'extérieur, selon l'inspiration du photographe et l'envie des auteurs eux-mêmes.
Nous avons pu échanger avec Yann Le neveu, qui parle très volontiers de ce travail qui le passionne. Je n'ai pas eu le temps de regarder en détail tous les cadres car j'étais pressée par le temps, mais je compte bien y retourner.
D'autres expositions seront organisées en Bretagne courant 2008. Ceux que cela intéresse trouveront les dates et lieux sur le site du photographe, que je vous engage à consulter. Il propose une petite visite virtuelle.
 
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2 février 2008 6 02 /02 /février /2008 12:50
Roman jeunesse - Editions Magnier 2005 
 
Suite à la visite d'une romancière dans sa classe, Arthur, élève de collège, a soudainement envie d'écrire un livre. Il s'entoure de ses deux meilleurs amis, une fille du genre "intello" et un garçon bourré d'imagination.
On suit pas à pas l'écriture du roman : la recherche d'une idée (originale si possible), la documentation (importante surtout quand le choix se porte sur un roman historique), le style…. Il faut aussi apprendre à travailler en équipe!
 
J'ai trouvé ce livre original et intelligent. Il donne l'occasion aux enfants de réfléchir à la conception des ouvrages qu'ils lisent, à la démarche préalable d'un auteur.
Il a toutes les chances de plaire aux enfants qui aiment l'histoire.  On y parle des rois maudits, par exemple. A titre personnel, j'ai appris qui était Jean 1er Le Posthume, héros du roman d'Arthur.
Des thèmes qui concernent les enfants d'aujourd'hui y sont abordés : l'utilisation d'Internet, la famille recomposée, les relations garçons-filles chez les pré-ados… L'humour n'est pas absent, les dialogues entre les enfants sont assez savoureux.
Ce livre convient à mon avis à des enfants à partir de 11-12 ans (ma fille de 10 ans, par exemple, ne comprendrait pas toutes les subtilités)
 
Un livre qui, peut-être, suscitera des vocations...
 
De Fabrice Vigne, que ma bibliothèque va reçevoir la semaine prochaine, j'ai déjà lu et beaucoup aimé TS et Les Giètes.
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31 janvier 2008 4 31 /01 /janvier /2008 00:14
éd. Leméac/Actes Sud, collection Babel
L'histoire :
Le personnage principal du roman, c'est "Le chauffeur", c'est ainsi qu'on le surnomme. Il est bibliothécaire ambulant et sillonne la Côte Nord du Québec au rythme de trois tournées par an.
C'est avec tristesse et nostalgie qu'il s'apprête à entreprendre sa dernière tournée. Juste avant le départ, il fait la connaissance de Marie, une femme de son âge. Elle fait partie d'une fanfare. Très intéressée par la tournée du Chauffeur, la fanfare décide de suivre le bibliobus dans sa tournée d'été. L'occasion est donnée au chauffeur de faire plus ample connaissance avec Marie, et de lui faire partager son univers...
 
Mon avis : 
J'ai adoré l'ambiance intimiste et tranquille de cette tournée d'été. Quel joli voyage à travers les petits villages perdus et les paysages somptueux de cette Côte Nord du Québec, que je me suis empressée d'aller découvrir en photos, via le net !
 
 
L'écriture est simple, à l'image de ce chauffeur qui partage avec passion mais simplicité son amour des livres et de son métier. Plusieurs auteurs sont cités. J'ai noté ceux que je ne connaissais pas et retrouvé avec plaisir ceux que j'aime, comme Gabrielle Roy.
 
Un petit détail sympathique pour les amoureux des chats, ils sont très présents car le bibliobus est un ancien camion de laitier !
"Avant de se mettre au volant, il se pencha pour vérifier si quelque chat ne n'était pas blotti sous le camion. Il n'y en avait pas, mais il n'oubliait jamais de vérifier, car le bibliobus semblait avoir gardé de ses origines une petite odeur de lait que les chats étaient les seuls à détecter"
 
Il est question également de la vieillesse et du temps qui passe. Le livre est nostalgique mais plein d'espoir. On découvre à la fin du livre que l'automne d'une vie peut réserver de bien jolis moments.
 
Une très agréable lecture !
 
Un grand merci à Alice et Allie pour m'avoir donné envie de découvrir ce livre. Merci aussi à Lilly de me l'avoir prêté (ce n'était pas si simple pour elle !).
 
 
De très jolis billets sont consacrés aux livres de Jacques POULIN : Chez Alice (dans sa rubrique littérature québécoise, on trouve tous les livres de l'auteur ou presque) et Allie bien-entendu, mais aussi chez Cathe, Anne,  Florinette...
On trouve aussi la Tournée d'automne chez Joelle, Laure et Lilly mais leur enthousiasme est moindre.
 
 
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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 00:16
Il y a deux ans, Isabelle Mergault remportait un joli succès populaire avec "Je vous trouve très beau", en dépit de critiques professionnelles peu élogieuses. Son tout nouveau film "Enfin veuve", n'a pas été mieux accueilli par les professionnels, certains auraient même dit que le seul bon acteur du film était le chien !
 
Encouragée par Anne qui a bien aimé le film (elle n'a pas eu le temps de faire un billet, ne le cherchez pas), et parce que j'avais envie de passer une soirée sans prise de tête, je me suis laissée tenter. Et bien, je dois dire que le résultat a été à la hauteur de mes aspirations du moment. J'ai passé, en compagnie de cette joyeuse veuve, un agréable moment. Et je ne dois pas être la seule car le film marche plutôt bien.
 
Michèle Laroque (alias Anne-Marie) incarne une "bourge" qui s'ennuie à mourir avec un mari avec lequel elle ne partage rien. Mais sa vie n'est pas morose pour autant car elle a un bel amant (Jacques Gamblain) avec lequel elle projette de partir en Chine. Le "hic" c'est qu'elle n'ose pas annoncer à son mari son prochain départ. Gros coup de bol, il se tue dans un accident de voiture ! La voilà donc libre, enfin en théorie, car la famille débarque pour les obsèques et se montre plus qu'envahissante. Le courage n'étant la qualité première d'Anne-Marie, elle n'ose pas les "envoyer paître". Son gros niais de fils, persuadé qu'elle ne va pas bien, ne la lâche plus d'une semelle et lui parle inlassablement du défunt...
 
Ce n'est certes pas un grand film, mais un bon vaudeville qui se laisse regarder. J'ai particulièrement aimé la galerie de personnages secondaires assez pittoresques comme le pépé qui perd la boule ou la vieille dame "pilier de bar" qui a une bouille d'enfer et des réparties inattendues.
 
Si vous cherchez une bonne détente, allez-y, mais n'en attendez pas trop tout de même !
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27 janvier 2008 7 27 /01 /janvier /2008 17:21

 

 

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26 janvier 2008 6 26 /01 /janvier /2008 00:41
Editeur : Liana Levi 2007
L'histoire : 
Claire, jeune novice de 18 ans, travaille comme infirmière dans un hôpital psychiatrique. Nous sommes en 1918 et nombreux sont les soldats qui souffrent dans leur corps et dans leur tête. Pierre est l'un d'entre eux. Il arrive à l'hôpital totalement refermé sur lui-même et incapable de la moindre réaction. Très vite la jeune religieuse s'attache à lui, se dévouant corps et âme pour tenter de le tirer  de sa léthargie. Elle utilise, entre autres, une technique de massage qu'elle a mis au point et qui donne de très bons résultats. Ce travail la passionne, l'homme la trouble, elle se met donc à douter de sa vocation de religieuse...
 
Mon avis : 
J'ai été assez déconcertée par l'écriture de ce livre, que j'ai trouvée assez inégale. La vie de Pierre est racontée au lecteur par bribes. Ces passages, en italiques, m'ont semblé beaucoup mieux écrits que le reste.
L'histoire est assez banale et la fin prévisible mais c'est une lecture assez plaisante tout de même. On y découvre les débuts de la psychiatrie et l'utilisation du "toucher" dans la thérapie des maladies psychiatriques. L'auteur est ergothérapeute de formation. On comprend donc son intérêt pour le sujet.
Le cheminement de Claire n'est pas inintéressant, même si on peut la trouver un peu "nunuche" par moment. Il est vrai que c'était une autre époque !
 
Un premier roman sur un thème plutôt intéressant.
L'avis de Joelle et de Clarabel qui ont bien aimé.
 
J'ai lu ce livre dans le cadre du Prix Inter-Ce
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